À propos de cette exposition

voilà ce qu’en dit Luc Hossepied de la plus petite galerie du monde (ou presque) de Roubaix;

Zaurel par ci, Zaurel par là. Dans l’atelier de céramique, dans la salle de peinture, dans la cuisine ou la salle de bains, elle transforme tout ce qu’elle voit, tout ce qu’elle touche en œuvre poétique dès qu’elle a un crayon, un pinceau ou un peu de terre entre les mains.
Des grosses dames s’envolent , des animaux à la Breughel oublient de faire la gueule, les petits marins se rhabillent en dandy grâce à son style faussement naïf. C’est une poétesse qui s’exprime sur les  petits riens et le grand Tout de ce monde, seule ou accompagnée, car Zaurel aime le collectif. Rien n’allume davantage ses yeux bleus qu’un travail à quatre mains, dont elle garde la maîtrise, quand même!Arrivée dans le Nord il y’a une dizaine d’années, Zaurel part pour d’autres horizons où elle inventera des mondes, encore, avec l’une ou l’autre. Elle a promis qu’on la reverrait, mais ne vous y fiez pas. Zaurel est partie, Zaurel est par là, du côté de la Dordogne dans un monde de nature retrouvée. En ce mois de mai 2021, elle  pose ses valises à la ppgm(OP) le temps d’une exposition. Bien vu !C’est ici qu’elle a exposé en 2004, tout juste arrivée chez nous.Dans sa grande maison de Dordogne, il y aura une chambre d’amis. On a promis d’y aller mais Zaurel, je crois, nous aura vite oubliés, classés au rayon des bons souvenirs.Il ya tant de vies en elle qu’elle va aussitôt investir l’avenir.Vivement qu’on la retrouve dans quelques années !
FIN